bannière
Nom de l'objet : | bannière |
Catégorie de l'objet : | Objets de communication |
Sous-catégorie de l'objet : | Objet de cérémonie Objet de procession Objet religieux |
Matériaux : | fibre, synthétique peinture, gouache ? |
Technique de fabrication : | peint taillé assemblé cousu |
Numéro d'accession : | 2007.11.206.1-2 |
Nom de la collection : | collection permanente |
Municipalité d'origine : | Joliette |
Province d'origine : | Québec |
Pays d'origine : | Canada |
Continent d'origine : | Amérique du Nord |
Municipalité d'utilisation : | Joliette |
Province d'utilisation : | Québec |
Pays d'utilisation : | Canada |
Continent d'utilisation : | Amérique du Nord |
Culture : | québécois |
Groupe religieux : | catholicisme |
Date de début de production : | 1950 po |
Date de fin de production : | 1973 an |
Période : | 3e quart du 20e siècle |
Description : | La bannière est montée de manière à être vue de face. Elle est faite d'un tissu synthétique satiné de couleur ivoire, et forme un long rectangle se terminant par une forme arrondie convexe. Toutes les bordures ont été taillées au ciseau dentelé. Il y a un ourlet à la bordure supérieure. Le texte de deux lignes, "REGINA PACIS" et "ORA PRO NOBIS", tient dans la partie supérieure de la bannière. Les lettres sont bicolores, soit bleu dans la partie supérieure et rouge dans la partie inférieure. Les lettres de "REGINA PACIS" (de 26 cm au centre à 43 cm aux extrémités, la bordure supérieure est égale, i.e. elle trace une ligne imaginaire) sont très grandes et forment une voûte au dessus de "ORA PRO NOBIS" écrit en plus petit. On remarque huit "X" tracés au crayon sur les côtés et cinq autres se partagent le haut de la bannière. Une série de trous mutilent le tissu à ces endroits. Ces "X" désignent probablement des points de fixation. La toile est un complément à la bannière, probablement comme écran contre la lumière. |
Commentaires : | En 1861, l'Institut des Soeurs Adoratrices du Précieux-Sang est fondé par Aurélie Caouette (1833-1905), à St-Hyacinthe. Cette communauté appartient à un ordre contemplatif, le premier au Canada. Les membres de cette communauté se vouent à une vie de prière, de silence et de pénitence dans l'adoration du Précieux-Sang. La Maison Mère a essaimé au Québec, au Canada, aux États-Unis, à Rome, à Cuba, en Chine et au Japon. Sur un total de 42 monastères, 11 fondations sont attribuées à Mère Catherine-Aurélie. Vers 1896, des démarches sont entreprises afin de fonder un monastère du Précieux-Sang, à Joliette. Ce n'est qu'en 1907 que six religieuses et une novice de la Maison Mère de St-Hyacinthe vont venir occuper un bâtiment expressément construit pour leur venue. Le monastère aura pour vocable Notre-Dame-de-la-Paix. La première supérieure fut Mère St-Jean-de-la-Croix, (Marie-Salomé Poirier d'Orsonnens, 1858-1942). Le monastère est devenu une abbaye bénédictine en 1973. |
Fonctions : | décoration murale; fêtes liturgiques |
Hauteur : | 202 |
Largeur : | 91 |
Unité de mesure linéaire : | cm |
Nombre d'objets : | 1 |
Nombre de parties composantes : | 2 |
Nom des parties composantes : | bannière toile |
Sujet ou image : | écriture religion |
Signification iconographique : | prière |
Événements, lieux, personnes : | Monastère Notre-Dame-de-la-Paix Soeurs Adoratrices du Précieux-Sang Joliette |
Translittération de l'inscription : | recto, sur la bannière, h.c. : REGINA PACIS/ORA PRO NOBIS - Reine de la Paix Priez pour nous; recto, sur la toile : Toile cirée pour bannière Regina Pacis/comme fond sur vitrine; recto, sur la toile, côté : 5*60NOS |
Établissement : |
Musée des maîtres et artisans du Québec
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Ville de l'établissement : | Montréal, arrondissement Saint-Laurent |
Province de l'établissement : | Québec |
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